LES VŒUX TRADITIONNELS DE TOUS LES AGENTS PASTORAUX AU PERE ARCHEVEQUE
Le 2 janvier dernier, de 9h00 à 14h00, il s’est tenue, au Centre Jean Paul II, une grande rencontre de prière et de fraternité. Ce sont les vœux traditionnels de tous les agents pastoraux au Père Archevêque de l’Archidiocèse de Ouagadougou. C’était une mi-journée bien tassée, pleine de regain spirituel et de sympathie. Autour de 500 agents pastoraux ont répondu à l’invitation du Père Archevêque. La communauté assomptionniste de Ouagadougou n’était pas 
du reste.
L’office divin scandé aux cantiques exaltants et méditatifs des séminaristes du Théologat Saint Jean a ouvert l’assemblée. Le moment de la présentation des participants par doyennés a suffi pour nous faire comprendre que, au bout de trois ans au siège métropolitain de Ouagadougou, le Père Archevêque Philippe Ouedraogo connaît déjà bien son archidiocèse et les défis pastoraux à affronter : l’approfondissement du Catéchisme de l’Église Catholique, la pauvreté, l’éducation, etc. Son un unique cri d’alarme à tous ses collaborateurs présents ou absents est un appel à plus de dévouement et de travail en synergie.
Il s’en est suivi alors différentes interventions pour mettre les participants au parfum de certaines nouvelles perspectives pastorales dans l’Archidiocèse. Entre autres interventions, il y a eu une perspicace présentation de l’Exhortation post-synodale « Africae Munus » du Pape Benoît XVI, les orientations pastorales de l’année 2012, la pastorale des malades, la pastorale des scolaires, la présentation de l’Union des Consacrés de Ouagadougou et la Formation permanente des Laïcs.
Tout s’est bien passé dans un climat de paix et de joie, joie d’être 
réuni autour de notre Père Archevêque pour lui souhaiter toutes les bonnes choses dans sa tâche de Pasteur et Père de l’Église-Famille de Ouagadougou pour cette nouvelle année, l’an 2012. La sainte messe et les agapes fraternelles ont conclu cette journée bien pensée pour le souhait des vœux traditionnels de tous au Père Archevêque Philippe Ouedraogo.
P. Paulin, aa
