La fête des martyrs Bulgares à Ouagadougou

Le 13 Novembre dernier, nous avons célébré la mémoire des bienheureux assomptionnistes Kamen, Pavel et Josaphat.

Au cours de la célébration eucharistique, le père Nicolas, nous a rappelés le contexte de notre mission assomptionniste dans le domaine de l’œcuménisme, de la communion et de l’unité dans le monde et surtout en Orient d’où jaillit le témoignage  toujours plus beau de nos frères martyrs :  « Nous cherchons à faire le mieux possible tout ce qu’on attend de nous pour pouvoir nous sanctifier … l’essentiel est d’aller jusqu’à Dieu, en vivant pour lui » P. Josaphat CHICHKOV.

Après la célébration eucharistique, nous avons partagé fraternellement les agapes avec nos sœurs orantes et les religieuses de l’Assomption, présentes à Ouagadougou, et venues se joindre à nous.  A cette occasion, le frère Emile a relaté brillamment la mésaventure «heureuse» des frères bulgares, tout en recueillant pendant son intervention, quelques soupirs compatissants des sœurs. C’est au cours de ce partage que nous avons découvert qu’une de nos invités, la Sœur Evelyne KABORE (actuellement supérieure de la

Soeur Evelyne KABORE

communauté basée à Ouaga) est l’une des premières religieuses de l’histoire de l’église du Burkina. Elle rayonne toujours de jeunesse, sans manquer surtout d’admiration, et peut-être même, d’attrait pour la vie des martyrs assomptionnistes ; comme pour confirmer une citation attribuée au Prophète Mahomet pour qui « Celui qui reste chaste et meurt d’amour meurt martyr. »

Bernard BAMOGO

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