Jeune Ivoirien comme vous le découvrirez dans la suite, Christian aspire à la Vie religieuse assomptionniste. Il vient donc de passer quelques jours en communauté à Ouagadougou.
Christian, que veux tu que les lecteurs connaissent de toi ?
Merci pour la parole à moi donnée .Je suis DJEDRI Christian Wilfried, Ivoirien vivant à Abidjan et issu d’une famille catholique.
Quel chemin t’a conduit aux portes de l’Assomption ?
J’ai connu l’assomption par le biais de la sœur Godelieve, Oblate de l’Assomption vivant dans la communauté de Sinematiali dans le diocèse de Korhogo En Cote d’Ivoire.
Qu’as-tu vécu au milieu des frères durant ces jours
J’ai surtout été marque par la simplicité de vie et la liberté qui entraine bien sur à la maturité aussi la correction fraternelle qui sont bien visibles dans cette communauté. Aussi une vie spirituelle intense avec la messe les offices et les lectures enrichissantes des commentaires de saint augustin sur l’écriture.
Qu’est ce qui t’a le plus déçu dans notre vivre ensemble ?
Le fait que le père Paulin soit le seul a porter le vêtement propre aux religieux assomptionnistes .
Quel souvenir emportes-tu avec toi ?
Une semaine chargée d’enrichissement mutuel ou j’ai pu constater l’unité malgré les diverses nationalités des religieux assomptionnistes de Ouagadougou. J’avais ma petite idée en venant à Ouagadougou comme quoi ce serait une congrégation renfermée sur elle-même. Mais il n’a pas tort celui qui a dit : la plus grande pauvreté c’est de croire qu’on a toujours raison.
Un mot de fin
Merci à toute la communauté de Ouagadougou pour l’accueilà moi réservé durant cette semaine passée ici en particulier aux pères responsables de la formation qui m’ont permis de passer un séjour agréable. Je terminerai en disant qu’à l’assomption c’est : « tous appelés tous responsables ». Propos recueillis par Emile